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Cygne, Le Parfum
Dans le cœur vibrant de Montmartre, où les pavés résonnent encore des échos de rires et de mélodies interdites, une étoile a brillé d'un éclat singulier : Léopoldine de Valois. Née sous le signe de la créativité en 1928, cette artiste au regard de braise a embrasé les nuits parisiennes de la fin des années 1950, laissant une empreinte indélébile dans l'histoire de l'art et de la mode. Léopoldine n'était pas seulement une peintre ; elle était une muse, une énigme, une incarnation de la femme libre et audacieuse. Son atelier, niché dans une ruelle discrète, était un sanctuaire où se mêlaient les parfums de térébenthine, de tabac et de mystère. En tant que Muse de Montmartre, elle y créait des toiles qui capturaient l'essence des nuits parisiennes, des scènes de cabaret aux portraits de femmes fatales, où le rouge profond dominait, symbole de passion et de rébellion. Son tableau "Nuit Rouge", exposé au Salon d'Automne 1957, fit scandale. Il était interdit de le regarder sans être captivé. Les critiques étaient divisés, mais le public était fasciné. Léopoldine était devenue une icône, une figure de proue de l'avant-garde artistique. Elle fréquentait les clubs de jazz enfumés, les cabarets où les danseuses se dénudaient au son des saxophones, les cercles littéraires où les esprits s'échauffaient autour de débats enflammés. Elle était l'amie des poètes, la confidente des musiciens, la muse des peintres. Son style vestimentaire était à son image : audacieux, sensuel, intemporel. Elle portait des robes de satin rouge, des manteaux de velours noir, des chapeaux ornés de plumes. Elle était une vision, une apparition, une femme qui savait ce qu'elle voulait. Puis, en 1961, Léopoldine disparut. Comme une étoile filante, elle s'éteignit dans la nuit, laissant derrière elle un vide immense et un mystère qui n'a jamais été résolu. Certains disent qu'elle est partie pour un voyage initiatique, d'autres qu'elle a rejoint un amant secret, d'autres encore qu'elle s'est retirée dans un monastère. Mais son esprit, son style, son aura, eux, sont restés. Ils ont inspiré des générations d'artistes, de créateurs, de femmes. Léopoldine de Valois n'est pas seulement une égérie ; elle est une source d'inspiration, un symbole de liberté, une invitation à vivre pleinement sa passion.
Un rouge. Un frisson. Un secret partagé. Infinitum 1957 n'est pas une marque, c'est une alchimie. Un geste de connivence, un code murmuré entre ceux qui reconnaissent l'exceptionnel : un effleurement du poignet révélant le rouge Infinitum, un signe discret d'appartenance à un monde où le rêve devient réalité. Imaginez : votre mariage, une symphonie sensorielle orchestrée par nos muses, où chaque détail est une note parfaite, chaque instant une émotion gravée dans l'éternité. Et si ce n'était que le début ? Si ce geste, ce rouge, devenait le symbole d'une rencontre, d'une promesse, d'un "Allégloria" où l'audace et l'élégance se rencontrent ? Sous le drapé rouge, votre légende s'écrit. Infinitum 1957 : l'intemporel, l'inoubliable, l'essence même du désir.
Voici les premières notes du Vin d'Honneur pour un moment réussi au coeur du Palais de Vermeil. Une combinaison audacieuse de saveurs et d'odeurs pour créer un moment riche, marqueront les mémoires de vos invités. Dans mon atelier, j'ai crée six personnalités riches en poésie. Dans cet atmosphère finement parfumée placé sous l'égide de l'amour, je vous propose une pause dans le Palais de Vermeil ou les invités pourront inscrire leurs voeux de vermeil… Avec Infinitum, les cadeaux de mariage sont aléatoirement tirés au sort et révélés en fin de banquet, après la Corbeille des Muses. Ci-dessous, veuillez découvrir la liste des amuses-bouche. Chaque Vin d'Honneur Infinitum est synonyme de Corbeille de Raisins de Muses de bienvenue, du Vin et du Champagne choisi. La Poésie viendras soutenir cet accueil avec un choeur composé de Muses, d'une Lyre d'or et vous dégusterez de nombreux amuses bouches délicieux sous l'égide de l'Amour.
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« Au dos de ma toile, là où les ombres dansent et les secrets se murmurent, j'ai caché un vœu, un sortilège, un geste de connivence. Il ne s'agit pas de magie, mais d'une alchimie plus subtile : celle des cœurs qui battent à l'unisson. Pour que ce geste voyage à travers le temps et l'espace, il faut croire en sa puissance. Il faut ouvrir son cœur, laisser les émotions s'exprimer, et tendre la main à l'autre. Le parfum « Rouge 1957 » est la clé, la carte postale est le guide. Ensemble, ils créent un lien invisible, une connexion qui transcende les frontières. Que ce geste de connivence se répande dans toutes les villes du monde, qu'il apporte la joie, l'amour et la paix. C'est mon héritage, mon cadeau, mon vœu le plus cher. »
Carte Énigme : Automne 1957